Notre réaction technique a été rapide ; c'est la capacité financière d'accompagner le programme qui nous a fait défaut. Dans nos propositions de soutien à la consommation sur le marché intérieur et à l'exportation, nous demandions un financement couvert à 80 % voire à 100 % par les fonds de gestion de crise.
Lorsque nous utilisons des financements publics – nationaux ou communautaires –, il nous est interdit de mettre en avant des produits français. Certes, nous pouvons le faire grâce aux financements reposants sur la CVO, mais les mobiliser demande une négociation générale sur l'utilisation des moyens interprofessionnels. Le passage du CTIFL à ce mode de financement vient changer les règles d'un jeu déjà complexe.