Nous avons bien identifié le problème lié au cofinancement des programmes de promotion. En période de crise, alors que la filière va mal, il est en effet paradoxal d'exiger cet effort des professionnels. Dans le cadre de la négociation d'un nouveau règlement communautaire relatif à la promotion des produits agricoles, nous demandons que dans les situations de crise, les programmes bénéficient d'un financement à 80, 90 voire 100 % européen. Nous suggérons également d'y introduire des dispositions permettant d'accélérer la procédure – habituellement longue. La discussion reste en cours, mais le problème est reconnu et traité.