La stratégie nationale de la santé prévoit la fusion au 1er janvier 2016 des centres de dépistage anonyme et gratuit et des centres d’information, de dépistage et de diagnostic des infections sexuellement transmissibles. Apparaît donc, petit à petit, une fusion logique entre les actions de dépistage et les actions de prise en charge des maladies sexuellement transmissibles. Au-delà de cela, nous proposons une extension à tous les aspects de la santé sexuelle. Cette prise en charge globale de la santé sexuelle est importante et répond à un besoin exprimé par la population. L’INPES fait d’ailleurs la promotion de ce principe, également soutenu, depuis une dizaine d’années, par l’Organisation mondiale de la santé.