Je comprends qu’il faille favoriser l’anonymat. C’est important car tous les jeunes de quinze ans et plus doivent avoir accès à la contraception. Je n’ai pas la volonté de le remettre en cause. Néanmoins, à force de favoriser l’anonymat, ne pensez-vous pas, madame la ministre, qu’on casse complètement le lien parents-enfants ?