Les associations voient leur rôle reconnu et cela va dans le bon sens. Mais la démocratie sanitaire, c’est davantage que la représentation des associations dans des instances décisionnelles ou consultatives. Aujourd’hui, nous sommes parvenus à une véritable participation : ainsi, les guides de bonnes pratiques rédigés par les associations de patients ou de proches deviennent des outils dont s’emparent les professionnels. Il s’agit bien, si j’ose dire, d’une démocratie participative. Il convient de reconnaître cette évolution et d’inciter les professionnels à la prendre en compte.