Je voudrais insister sur les conflits d’intérêts, mais surtout sur la confusion des genres. On va proposer à des associations que l’on connaît parce que l’on travaille avec elles, d’être partie prenante. C’est totalement artificiel. En outre, on rajoute des niveaux de consultation. Au lieu d’apporter de la liberté, ce qui est le propre du système associatif, on crée des carcans, de l’opacité et des obligations, ce qui est totalement antidémocratique.