Madame la secrétaire d’État, il y a un moment où la lassitude, le désespoir s’installent. Les uns et les autres, nous avons passé des mois et des mois à travailler sur un système intelligent. Nous sommes arrivés à un accord unanime des députés, qui ont dit : « C’est du bon sens. Nous allons faire comme les Belges, comme les Néerlandais, comme pratiquement tous les autres pays européens. »
En Belgique, cela fait dix ans que cela fonctionne, avec une carte sociale qui a la valeur d’une pièce d’identité.
Madame la secrétaire d’État, vous ne pouvez pas nous dire que la CNIL n’est pas d’accord. Nous l’avons vue dix fois. Vous ne pouvez pas nous dire que les libertés individuelles seraient menacées.