J’ai l’impression de n’avoir servi à rien – ce qui n’est pas très grave – mais la situation empire.
Alors, s’il existe de meilleures solutions, nous les prenons bien volontiers – nous ne sommes pas favorables au flicage des chefs d’entreprise, cette mesure ne nous rendant pas de surcroît populaires auprès d’eux qui, d’après vous, sont pourtant plutôt nos amis – mais que fait-on, monsieur Bapt ? L’URSSAF doit se charger de ces vérifications mais elle ne le fait pas ! On continue donc à couler !