Faire connaître la biodiversité ordinaire n'est pas chose facile, je le sais pour avoir tenté de le faire à l'échelon de mon territoire. Le capital naturel fait partie de l'environnement quotidien de nos concitoyens et sa valeur n'apparaît pas de manière évidente.
Vous avez émis des réserves concernant la future Agence française pour la biodiversité, prévue par le projet de loi relatif à la biodiversité dont nous espérons pouvoir débattre au printemps. Quel type de gouvernance envisagez-vous pour cette instance ?
Enfin, comment comptez-vous assurer l'application du principe de non-régression, compte tenu des réalités économiques et sociales qui s'imposent à nous ?