M. le président de la commission de surveillance a indiqué qu'il voulait être un acteur inspiré d'une réforme de la gouvernance de la Caisse des dépôts, dont je rappelle que l'une des missions historiques est de « susciter la confiance du public et de convaincre l'opinion que l'État peut être un dépositaire digne de foi ». La représentation nationale ne serait-elle pas bien inspirée de lui faire, à l'occasion de son bicentenaire, un cadeau démocratique en proposant une modification de la composition de la commission de surveillance afin d'y faire une place aux salariés ?