L’islam et les citoyens qui le pratiquent sont les premiers otages de la guerre sainte. Il serait souhaitable que notre diplomatie prenne d’ailleurs la pleine mesure de tout cela.
La loi, les pratiques utiles, la mobilisation citoyenne, c’est ensemble que ces réponses complémentaires doivent être données au terrorisme, quelle que soit la forme historique qu’il revête.