Merci beaucoup pour vos réponses souvent très détaillées, monsieur le président-directeur général. Néanmoins, je suis un peu restée sur ma faim en ce qui concerne le rôle de l'État, en tant qu'actionnaire ou dans la gouvernance. L'idée implicite était que l'État pouvait être un facteur de perturbation et qu'il imposait des contraintes parfois considérables. Telle est en tout cas la perception des acteurs locaux. C'est une question importante : il s'agit pour nous, parlementaires, de mesurer les conséquences de ces contraintes tant sur les choix de l'entreprise EDF que sur les coûts économiques et les tarifs.