Quelques mots pour conclure, je l’espère, cette discussion : je rappelle en premier lieu que, sitôt que le Premier ministre a donné son accord pour que nous acceptions l’amendement déposé par la majorité reconduisant le FARRS, sous condition de l’existence d’un PEDT, j’ai évidemment pris contact avec l’ensemble des associations d’élus. Il est quand même surprenant que ni l’Association des maires de France, ni l’Association des petites villes de France, ni l’Association des maires ruraux de France n’aient trouvé à redire à ce mécanisme dans lequel l’État assure en effet un accompagnement. Mais dans un contexte où les finances publiques sont évidemment contraintes, l’État s’inquiète de ce que devient l’argent qu’il met à disposition des communes et a une exigence minimale.