Je vous ai répondu en commission sur l’impact de la réforme pénale sur le fonctionnement des forces de sécurité, mais je le refais bien volontiers : je veillerai bien entendu, en lien étroit avec le ministère de la justice, à ce que le nouveau cadre juridique ne se traduise pas par des surcharges indues.
Enfin, concernant les salles de consommation de stupéfiants à moindre risque, je rappelle que ce dossier est piloté par le ministère de la santé auquel il appartient de répondre sur ce point.