Intervention de Germinal Peiro

Réunion du 7 novembre 2012 à 16h30
Commission des affaires économiques

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGerminal Peiro :

Nul ne conteste le constat de décrochage sans précédent que vous dressez dans votre rapport, mais je n'y ai rien lu concernant les obstacles à la compétitivité dus à la finance : rien sur la régulation ; rien sur les freins à la spéculation ; très peu sur la rémunération du capital ; rien sur les fonds de pension qui exigent des rendements de 15 % au mépris de l'entreprise ; rien sur les prélèvements financiers, alors que, selon l'INSEE, les charges d'intérêt payées aux banques en 2011 s'élevaient à 309 milliards d'euros contre 145 milliards pour les cotisations sociales. Pourquoi ?

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