Votre rapport constitue un souffle d'optimisme et il apporte de l'espoir à ceux qui veulent rester vivre en France. Que pensez-vous des chefs d'entreprise – et de ceux qui les ont aidés par une fiscalité accommodante – qui ont acheté de belles PME, les ont filialisées, les ont revendues après les avoir spoliées de leurs brevets et licencié une partie du personnel, pour finir par toucher une belle plus-value, non taxée, ou si peu ? Que faire pour aider les chefs d'entreprise à la tête de PME que leur croissance trop rapide finit par étouffer ? Au-delà des fonds que pourrait leur procurer la BPI, ne faut-il pas créer une banque d'hommes ?