Cette première étude est riche d'enseignements. Pour autant, nous ne sommes pas surpris, en particulier par le pourcentage de 58 % d'ultramarins qui se sentent victimes de discriminations. Nous avons tous eu connaissance d'un certain nombre d'évènements dans lesquels nos compatriotes ultramarins de l'hexagone ont pu avoir ce sentiment. C'est précisément contre cela qu'il faut lutter.
Avant de passer la parole dans la salle, je tenais à saluer nos collègues députés, parmi lesquels je ferai une mention particulière pour M. Victorin Lurel, ancien ministre des Outre-mer.