La demande est en effet croissante en la matière. Nous avons pensé à réaliser l'équivalent des programmes hospitaliers de recherche clinique (PHRC) dans le secteur médico-social. Quant à l'appariement individuel, où la CNSA joue un rôle d'intermédiaire, il est lourd à conduire car il n'y a pas assez de chercheurs et d'équipes suffisamment étoffées sur la perte d'autonomie, même si le vieillissement au sens large attire davantage les chercheurs. Pour séduire ceux-ci, on ruse en faisant appel à de bons généralistes, que l'on incite ensuite à travailler sur la perte d'autonomie.
Nous avons un groupe travaillant sur la structuration de la recherche dans ce secteur. Il faut probablement employer d'autres voies que la simple incitation financière.