En période de crise, à l’image de ce qui s’est passé dans les années trente, il y a toujours, tapis dans l’ombre, ceux que j’appelle les prédateurs de la République. Ces loups qui viennent de tous les extrêmes, il faut les chasser. Or on ne les chasse pas en hurlant avec eux ou contre eux. On chasse les loups en chassant les brebis galeuses.
Monsieur le Premier ministre, êtes-vous favorable à une nouvelle étape de la moralisation de la vie politique, aujourd’hui plus que jamais indispensable ?