Dans un grand nombre de territoires, en effet, les services publics se raréfient, l’offre de soins diminue, et les habitants se demandent à juste titre quand va s’arrêter cette régression. Or les crédits consacrés à ces deux actions sont en baisse, au détriment des populations des zones rurales et de l’attractivité de ces territoires, alors que seuls les crédits destinés à la ville sont sanctuarisés.
Les promesses électorales sont bien loin. Où est le réenchantement du rêve ?