En Chine, en Europe, aux États-Unis, des marchés du carbone existent, mais ils ne sont pas coordonnés et concernent seulement 7 % des rejets de gaz à effet de serre, même s'ils pourraient bientôt s'étendre au Brésil ou à la Turquie. Il faut éviter de reproduire l'expérience désastreuse qui a suivi la conférence de Kyoto. Peut-on attendre de la conférence de Paris des avancées, en particulier l'émergence d'un marché du carbone à l'échelle mondiale ?