Il profite de l’arrivée à maturité de projets lancés par ses prédécesseurs – c’est le cas du Musée Picasso ou, bientôt, de la Philharmonie de Paris. Il profite encore de projets privés, comme la Fondation Vuitton.
Faute de réussites économiques ou sociales, l’inauguration de grands projets culturels est un dérivatif commode pour se prévaloir à bon compte d’une politique culturelle conduite par autrui. Je sais déjà ce que vous allez me répondre.