Compte tenu des avancées réalisées par l’Assemblée nationale en première lecture et, plus encore, par le Sénat – dont le vote peut interpeller, monsieur le secrétaire d’État, car il n’a pas été acquis grâce aux seuls Alsaciens –, j’aurais pu voter en faveur du projet de loi ; mais le recul effectué en seconde lecture par notre commission des lois me pose problème.
Monsieur le secrétaire d’État, il faut que vous entendiez les représentants du peuple que nous sommes : nous devons construire des régions qui soient au service des Français et aient un sens pour le XXIe siècle.