Puisque c’est, paraît-il, l’objet de notre débat, peut-être pourrions-nous, accessoirement, avoir cette information ? Ce serait utile.
Vous l’aurez compris, chers collègues : si j’appelle de mes voeux la réforme territoriale, je condamne fermement la méthode erratique qui a été employée jusqu’à présent. Mais soyez rassuré, monsieur le ministre : je ne serai pas aussi sévère que votre ami socialiste Alain Rousset, président de l’Association des régions de France – qui nous manque, d’ailleurs, à l’heure où nous nous apprêtons à débattre de la délimitation des régions. Alain Rousset a donc fait part de ses doutes, se trouvant « comme Saint Thomas tant le discours du Gouvernement varie dans le temps ».