M. Poisson, qui appartient au même groupe, regrette dans le même temps que nous n’ayons pas passé plusieurs années supplémentaires avant de décider de soumettre une réforme au Parlement. En vérité, cette réforme ne pouvait plus attendre. Il n’est pas sérieux de prétendre, après tant de rapports et d’études préalables, que nous aurions dû encore différer cette discussion.
D’autres orateurs s’interrogent sur notre capacité collective à dégager des économies au terme de cette réforme.