Madame la présidente, mes chers collègues, le 1er janvier 2016, j’enlève le Haut ; le 1er janvier 2016, j’enlève le Bas. Je vous rassure, il ne s’agit pas d’un accès soudain de naturisme, mais bel et bien de la traduction de l’enthousiasme de la Normandie à l’idée de ne plus former bientôt plus qu’une seule et même entité.