Alors, on ne parle plus des citoyens, ni du peuple, ni du facteur humain, ce qui est dommage même si cette approche peut se défendre : après tout, elle se veut objective, rationnelle, que sais-je encore. La démonstration me paraît difficile à apporter, mais pourquoi pas ?
Nous défendons quant à nous la seconde approche, fondée sur le sentiment d’appartenance. C’est lui qui, selon nous, doit fonder un découpage…