Monsieur le ministre, je voudrais à mon tour me joindre au concert de protestations ambiant. Surtout pas pour me mêler du découpage, mais simplement pour protester contre la méthode que vous avez retenue.
De toute évidence, cette affaire de découpage est insoluble. Nous venons de l’entendre encore à l’instant, chacun a sa proposition. Nous pourrions en discuter encore pendant des heures sans jamais tomber d’accord, parce qu’au-delà de nous, nos concitoyens, les habitants des territoires, ne voient pas l’intérêt de cette réforme. Ils ne comprennent pas pourquoi il faudrait la faire.
En effet, il n’existe aucune corrélation entre la taille d’une région et sa prospérité. C’est même tout l’inverse.