Nous travaillons pour que les exécutifs régionaux issus du suffrage universel puissent bénéficier d’une situation claire et commencer à travailler. Les six années du mandat des prochains conseils régionaux devront être utilisées pour faire prospérer la loi que nous allons adopter.
Il y a des débats sur le droit d’option. Je suis de ceux qui souhaitent que l’on ne modifie pas les choses trop vite.