Le décret de 2012 précité a mis un frein aux vases communicants permettant de transformer des VSL en ambulances pour des considérations d'optimisation financière. Ce double plafonnement, que nous appelons de nos voeux, devrait également mettre un terme à la situation actuelle caractérisée par une offre surabondante. Je pense nécessaire de revenir à un étiage qui tienne compte de la démographie, des structures de soins et des caractéristiques territoriales. Au fond, il ne faut pas s'interdire de résorber des excédents issus de temps plus anciens où l'absence de rationalisation était la règle.