Mais le HCR, par définition favorable aux réfugiés, voit tout avec ses propres lunettes. Face à l'humanitaire, ne conviendrait-il pas d'ajouter un représentant du ministère de l'intérieur, familier des problèmes d'intégration, de territoire et d'accès aux droits ? Un sous-préfet me semblerait tout indiqué, avec un magistrat au sommet de la formation.