Comme vous l'avez rappelé, notre déficit commercial avec la Chine est aujourd'hui de 26 milliards. Celui-ci ne s'est malheureusement pas amélioré. Nous oeuvrons à l'ouverture d'outils de production en Chine qui permettent la garantie de nombreux emplois dans les domaines de l'automobile, de la construction d'infrastructures et de centrales nucléaires. Or, si l'on s'intéresse aux investissements chinois en France, on constate qu'ils sont extrêmement faibles. Les entreprises chinoises implantées sur notre territoire sont généralement de petites structures. Pouvez-vous nous dire combien sont installées en France ? Celles-ci sont souvent des sociétés de représentations qui emploient un nombre très limité de personnes. J'aimerais également que vous nous disiez en quoi cette convention fiscale aide à résorber le déséquilibre commercial. Enfin, quelle est la différence entre la précédente convention et celle-ci par rapport aux règles de l'OCDE ? Quels sont les progrès enregistrés ?