…et, au bout de soixante ans, de ne plus faire ce qui nous avait été demandé : constituer ce trait d’union à chaque instant, dans toutes nos politiques publiques. C’est là quelque chose d’éminemment douloureux pour nous.
Face à cette situation, notre économie est également en danger.
Je terminerai, monsieur le ministre, en répétant ce que j’ai dit hier à la tribune : on peut rire du malaise d’une partie de la population de notre pays, on peut en sourire, on peut même dire que ce n’est pas important…