Cet amendement prévoit que le demandeur d'asile sera informé de la possibilité de réaliser un bilan de santé et social dans le système de santé de droit commun. En effet, le nombre des médecins de l'OFII est très limité, et je doute que la situation puisse changer rapidement et de façon significative. L'idée est de mettre en place un outil qui facilite le diagnostic de la vulnérabilité.