Le demandeur d'asile ne pourra pas être hébergé dans certains établissements. Or l'hébergement et un droit inconditionnel pour toutes les personnes sans-abri, quelle que soit leur situation familiale ou administrative. Les alinéas 32 et 33 reviennent sur ce principe fondamental.
Je ne suis pas non plus pour l'anarchie, et j'accepte qu'il y ait un certain nombre de contraintes. Je conçois que celui qui abandonne son logement encourt certaines sanctions. Mais que cela remette en question la façon dont, ensuite, s'appliquera le droit à l'hébergement d'urgence, ne me paraît pas de bonne politique.