L'idée est d'introduire de la souplesse dans un dispositif dont je reconnais la légitimité. Mais il est tout aussi légitime, pour un demandeur d'asile, de faire valoir qu'il a d'autres possibilités d'hébergement, sans que cela ait des conséquences négatives pour lui.
J'ajoute, à l'adresse de M. Richard, que c'est également ce que proposait le rapport d'information du CEC, selon lequel il fallait « préserver la possibilité pour le demandeur d'asile d'être hébergé en dehors du dispositif d'accueil (sans suppression de l'allocation temporaire d'accueil) s'il peut être hébergé par un proche. »