Cette souplesse existe. Le texte ne prévoit pas que seuls les gens qui sont en CADA toucheront l'allocation, mais que la toucheront ceux qui ont accepté les conditions d'accueil, quelles que soient celles-ci. Ainsi, dans une région où les CADA sont saturés, ce sera une autre forme d'hébergement. Mais il est vrai que, par ailleurs, ce texte crée un certain lien entre l'acceptation d'un mode d'hébergement et la totalité des prérogatives. Et c'est votre droit de le contester.
Vous l'avez compris, je suis défavorable à l'amendement de M. Robiliard.