D'ailleurs, le directeur du centre pénitentiaire d'Orléans-Saran m'a indiqué que la « zone de chalandise », si j'ose m'exprimer ainsi, de son établissement allait croître, son ouverture étant concomitante à la fermeture des prisons d'Orléans et de Chartres, et qu'il commençait en outre à accueillir des détenus de Blois, car la création de nouvelles possibilités d'incarcérer suscite une hausse des incarcérations.