Oui, mais il sera plus difficile de les faire changer d'avis au sujet de la taxe carbone aux frontières, car une telle taxe nécessite que l'on pèse sur la Chine, ce qui risque d'impacter les exportations allemandes.
En tout état de cause, je pense qu'il serait bon que nous nous revoyions en début d'année prochaine, une fois que nous aurons pris connaissance des propositions de M. Juncker et M. Katainen relatives au plan de relance de 300 milliards d'euros.