Monsieur le président, madame la secrétaire d’État chargée des droits des femmes, madame la présidente de la commission des affaires sociales, mesdames et messieurs les rapporteurs, nous aurions souhaité que Mme la ministre des affaires sociales et de la santé fût présente. La présence de Mme la secrétaire d’État chargée des droits des femmes est une bonne chose, mais son portefeuille ne couvre qu’une partie de ce texte, qui représente 476 milliards d’euros, et que nous devons examiner en un jour et demi seulement. Je n’en salue pas moins Mme Boistard bien respectueusement.