Je vous remercie pour ce partage de vues sur l’état de la situation. Je vous remercie en particulier d’avoir reconnu que le fait qu’elle soit explicable ne la rendait pas acceptable.
Vous venez de nous dire que les cas les plus urgents, c’est-à-dire les personnes dans la plus grande nécessité, devaient se signaler auprès de la CARSAT. J’appelle cependant votre attention sur le fait que les personnels de la caisse sont injoignables par téléphone, ce qui rend très difficile même la moindre prise de rendez-vous.