Loin de moi l’idée de mettre en doute votre bonne volonté, monsieur le secrétaire d’État. C’est à la demande de la chambre de commerce et d’industrie de mon département que je suis intervenu. Vous êtes, il y a quelques mois, venu en Meurthe-et-Moselle pour annoncer peu ou prou ce que vous venez de nous dire.