Monsieur le secrétaire d’État, je prends bien volontiers acte de cette décision d’engager la révision du plan d’exposition au bruit. Simplement j’aurais aimé de votre part une réponse exceptionnelle, à la hauteur de cette situation exceptionnelle. J’aurais notamment souhaité que vous puissiez nous fournir des indications quant aux délais. Il était important, en effet, que le Gouvernement puisse manifester son intérêt pour une accélération de cette révision, afin que cette plaie ouverte, qui restera pour longtemps dans la mémoire des Côte-d’Oriens, puisse cicatriser rapidement.