C’est aussi l’opportunité de consolider une économie du sport pour laquelle notre pays a des atouts essentiels sur le plan international.
La France veut enfin accueillir ces compétitions pour sa cohésion même et en faire des moments d’unité nationale. Aucun événement n’a marqué la mémoire collective ces dernières années comme la Coupe du Monde de football de 1998. La ferveur, la liesse de ce moment sont encore dans toutes les têtes.
Dans cette période de crise prolongée, mesdames et messieurs les députés, pourquoi se priver de ce qui peut susciter de la joie collective et rapprocher les Français ? Au contraire, donnons à la France des occasions de se retrouver. Donnons lui les moyens d’accueillir de grandes fêtes populaires.
En tous les cas, la parole de la France sera respectée pour l’Euro 2016.