Mais si, vous l’avez dit en filigrane !
Madame la ministre, vous dites autre chose : selon vous, il n’y a pas de risque aujourd’hui parce qu’il n’y a pas de produits. Votre décision est donc purement idéologique !
Je suis sensible aux arguments économiques, mais nous sommes ici des législateurs et nous devons parler aussi de santé publique. Nous savons qu’il s’agit de produits d’une haute technicité, qui est difficilement copiée. Pourquoi ouvrir ce chapitre, alors que personne ne le demande et que l’on ne fera aucune économie à ce niveau ?