…ensuite de quoi on se donnerait rendez-vous pour examiner son application et son efficacité ; si enfin l’on affirmait que le problème des prescriptions sur les listes en sus ne concerne que quelques molécules, deux ou trois médicaments, et qu’on les identifiait de façon à rassurer l’ensemble des oncologues et des médecins internistes qui prescrivent des molécules onéreuses, leur expliquant qu’il s’agit de cibler quelques molécules sur lesquelles faire des efforts afin d’inciter à mieux prescrire dans le GHS ; alors beaucoup d’inquiétudes seraient levées et l’on pourrait aller vers une généralisation.