Cet article met en place une réserve prudentielle pour les établissements de soins de suite et de psychiatrie. Or, ces établissements privés sont tarifés pour un montant inférieur de 40 % en moyenne à celui des établissements de soins de suite publics, soit à 149 euros contre 247 en moyenne. Cette activité se développe à la demande des pouvoirs publics, qui attribuent les autorisations. Le secteur privé ne pourra pas supporter une baisse tarifaire, avec de surcroît une restitution aléatoire.