Madame la ministre, madame la rapporteure, après que vous aviez présenté votre réforme du congé parental, j’avais déposé un amendement qui visait à permettre au « second parent », c’est-à-dire, dans la vraie vie, au père qui ne pourrait pas prendre la période de congé parental lui revenant, d’en laisser le bénéfice au parent l’ayant pris en premier, autrement dit, là encore dans la vraie vie, la mère. J’estime en effet que le Gouvernement n’a pas à s’immiscer dans la vie privée des couples.