Monsieur Saddier, pardonnez-moi. Soyons honnêtes : vous m'avez signalé que vous souhaitiez demander une suspension de séance. S'il s'agit d'autre chose, je vous ai dit que je ne vous redonnerais pas la parole : un nombre suffisant d'orateurs se sont exprimés, et il m'a été soumis une demande de suspension de séance dont je suis en train de m'occuper. Je ne vous ai pas donné la parole pour vous exprimer de nouveau sur l'amendement.