Je pense à deux types d’agressions en particulier : le viol entre époux, dont la réalité est trop souvent niée, et le viol dans le cercle amical, qui touche les adolescents ou les jeunes adultes, pour lesquels le regard des autres et la pression sociale sont tels qu’ils incitent au silence et à la non-dénonciation des faits.
Enfin, deux jours après cette journée internationale de mobilisation, je regrette l’hypocrisie de ceux qui ont affirmé sur tous les tons combien cette proposition de loi était formidable et l’ont laissé adopter en commission des lois pour vouloir ensuite, dans l’hémicycle, la trucider par une motion de rejet préalable assassine.